Chaque jour nous apporte son lot de nouveaux patients, en très mauvais état pour la plupart, et les caisses de soins intensifs se remplissent aussi vite que les pouponnières en plein cœur de l’été.
Qui a dit que la saison martinets touchait lentement à sa fin?
Le nombre de pensionnaires remonte de façon inquiétante et le flux semble inendiguable. Pour le moment, nous ne pouvons relâcher aucun oiseau. Premièrement, parce que la plupart de ceux qui seraient en âge de partir présentent des problèmes de plumage ou autres. Deuxièmement, en raison du mauvais temps à venir.
Une fois de plus, il faut tenir …. !!! Oui, mais comment…?