(Soupir) Les martinets trop habitués au contact avec l’homme prennent notre corps pour un terrain conquis! L’alpin Laurin passe sa vie sur moi, car nous n’avons aucun congénère à lui proposer; de plus, il fait le fou dans sa caisse et risque d’abîmer ses plumes ô combien précieuses; quant au jeune Grischa, arrivé avant-hier de Pologne, c’est un vrai sauvage: il ne supporte aucun congénère et cherche uniquement la compagnie de l’homme. Il va y avoir du boulot pour lui réapprendre à se comporter en martinet! Mais bon, nous avons déjà une certaine expérience en la matière, et généralement, les résultats sont positifs. Pourtant, je me dis que cela n’est pas très utile, s’il fraye avec un alpin jaloux…? Affaire à suivre!