Nombre d’oiseaux accueillis

Le nombre d’oiseaux accueillis par le centre de soins pour martinets de Francfort (ancienn. « Station ornithologique pour martinets ») a été en constante augmentation durant les premières années, avant d’osciller, à partir de 2003, entre 500 et 700 oiseaux par saison. Les baisses enregistrées à partir de 2007 sont dues à des causes artificielles. C’est en 2010 que le seuil des 700 martinets fut franchi pour la première fois. L’année 2012 marqua une nouvelle progression, avec plus de 800 oiseaux accueillis.

Les fluctuations survenues entre 2003 et 2010 sont dues en partie à des phénomènes environnementaux influant sur le comportement des martinets, notamment sur celui des jeunes. En effet, durant les étés très chauds, de nombreux martinets juvéniles sautent hors du nid pour échapper à l’asphyxie. En conséquence, le nombre d’oiseaux apportés au centre de soins augmente.

De plus, le centre a été contraint à plusieurs reprises depuis 2007 de suspendre provisoirement les accueils pour des raisons logistiques. Le graphique suivant montre la répartition des pensionnaires durant l’année 2012. Pour réduire les effectifs, une partie des jeunes martinets dont l’état ne nécessitait pas de soins particuliers avaient été transférés vers d’autres structures aptes à les accueillir. Malgré cette mesure, l’année 2012 enregistra un nouveau record d’occupation, avec plus de 250 oiseaux en soins au même moment. Certes, les locaux sont plus grands. Toutefois, un tel nombre de patients exige de notre équipe bien plus qu’un simple engagement : un dévouement sans bornes. En effet, les oiseaux non transférés constituent pour la plupart d’entre eux des cas difficiles. 

Depuis son emménagement dans les nouveaux locaux, le centre de soins est plus que jamais à la recherche de bénévoles.  La plupart des tâches nécessitent une phase d’apprentissage, aussi les personnes intéressées sont-elles invitées à se manifester dès le début du printemps.

Zudem musste die Klinik seit 2007 temporäre Aufnahmestopps verhängen, weil die Kapazitätsgrenzen schlichtweg gesprengt wurden. Die folgenden Grafiken zeigen die tägliche Auslastung der Mauerseglerklinik in den Jahren 2018 - 2021. Obwohl zur Abfederung von Belastungsspitzen die Aufzucht unverletzter Nestlinge teilweise in kompetente, ausgewählte Pflegestellen verlagert wurde, kam es beispielsweise 2012 wieder zu einer Spitzenauslastung von über 250 Seglern. In den Zahlen des Jahres 2013 spiegelt sich wider, dass der Sommer in 2013 kalt und nass war. Deshalb konnten Mauersegler oft nicht direkt nach dem Flüggewerden starten. Gleichzeitig wurden stetig neue Segler eingeliefert. In 2014 wurden ebenfalls Spitzenwerte von über 240 stationären Patienten erreicht. Trotz der großzügigen Räume erfordern diese Zahlen nach wie vor eher die Selbstaufgabe als ein einfaches Engagement der KlinikmitarbeiterInnen - auch, weil durch die "Umleitung" der unkomplizierten Jungvögel in Pflegestellen die verbleibenden Patienten kompliziertere Fälle darstellen. So werden Altvögel nach Möglichkeit immer aufgenommen, weil ihre Behandlung in der Regel spezielles Wissen und Können erfordert. Junge Mauersegler mit Gefiederschäden, wie sie sich nach dem Flüggewerden der Vögel zeigen können, müssen in den Pflegestellen bleiben, bis die Kapazitäten der Klinik ausreichen, sie aufzunehmen. Gefiedergeschädigte Segler aus privater Hand werden nach Möglichkeit in ausgewählte Pflegestellen vermittelt oder direkt in der Klink aufgenommen.
Die Tabellen zeigen zudem, dass in den letzten Jahren mit immer mehr Patienten schon in eine neue Saison gestartet wird. Dies ist der Tatsache geschuldet, dass die Mauerseglermauser von juvenilen Patienten erst im zweiten Lebensjahr stattfindet und adulte Mauersegler erst im April/Mai mit der Mauser durch sind; es gibt aber auch Mauersegler, die sehr lange auf eine Übernahme warten müssen. Rechtfertigen lässt sich ein so langer Aufenthalt in Menschenhand nur damit, dass Mauersegler grundsätzlich lange leben können und ihre Fähigkeiten, sich in Freiheit behauten zu können, nicht verlieren.

À l’instar des années précédentes, la majeure partie des oiseaux que nous avons accueillis en 2011 ont été trouvés à Francfort même ou dans un rayon de 50 kilomètres. Le schéma ci-dessous donne un aperçu des lieux où ont été découverts nos pensionnaires durant la saison 2011. Des oiseaux en provenance de différents pays d’Europe nous sont également confiés.

Près de la moitié des oiseaux que nous accueillons ont transité par une autre structure (centres de soins, refuges, cliniques vétérinaires). Dans la majorité des cas cependant, les découvreurs s’adressent à nous directement.

En 2010, la moyenne arithmétique de la durée de séjour était de 33 jours et la médiane, de 23 jours. En 2011, la moyenne arithmétique était de 27 jours et la médiane, de 17 jours ; en 2012, la moyenne arithmétique et la médiane étaient respectivement de 32 jours et de 17 jours. Les différences entre moyenne et médiane s’expliquent par la présence de patients en long séjour, ce qui fausse la moyenne en la tirant vers le haut. Ces patients sont également représentés dans les graphiques ci-dessous. En abscisse, figurent les oiseaux accueillis (de 0 à un peu plus de 700) et en ordonnée, les durées de séjour.